Ensemble, nous allons vers une chaîne fruitière durable.
Comment ça fonctionne exactement, un Système de Bilan Massique ? Dans le Système de Bilan massique, CoolBest achète des emballages durables (label-SIGNATURE) au lieu d’emballages conventionnels auprès de son fournisseur d’emballages. Ces emballages durables sont plus chers que les emballages conventionnels, la différence servant à acheter des matériaux dérivés de plantes.
Le fabriquant des matériaux dérivés de plantes (plastique) n’est pas obligé de séparer complètement les matières premières durables des autres matières premières qu’il traite. Il peut en dévier tant que le volume de produit qu’il vend en tant que matériau dérivé de plantes correspond exactement au volume de matériaux dérivés de plantes qu’il a traité. Ainsi, on obtient un équilibre entre les matériaux entrant et sortant d’un système de production. Les matériaux dérivés de plantes étant mélangés aux matériaux fossiles, on ne saurait déterminer le pourcentage exact de matériaux dérivés de plantes par emballage. Les fabricants du plastique dérivé de plantes travailleraient de façon inefficace s’ils séparaient tous les matériaux conventionnels des matériaux durables pendant les processus de traitement machinal complexes. Les coûts du processus pourraient s’élever à un point où les fabricants ne voudraient pas coopérer à la production des matériaux plus durables. Voilà pourquoi le Système de Bilan Massique a pour objectif de remplacer progressivement les matériaux fossiles par des matériaux renouvelables. Il permet donc le mélange des deux matériaux pendant le processus. CoolBest paie pour les emballages plus durables, achète des plastiques dérivés de plantes auprès de son fournisseur d’emballages, en fonction des volumes CoolBest, même si les matériaux dérivés de plantes n’aboutissent pas toujours 1 sur 1 dans l’emballage portant le label SIGNATURE. Avec l’achat et l’utilisation du label, CoolBest investit en la création d’une industrie plus durable : voilà pourquoi le bilan massique est toujours un bon investissement.
Les audits d’ISCC vérifient scrupuleusement que les fabricants respectent les règles. ISCC, International Sustainability & Carbon Certification, assure un cadre fiable et vérifiable du système de comptabilité et de réclamations, reconnu internationalement pour sa transparence et sa traçabilité.
L’industrie des jus de fruits n’est pas seule à se servir du système de bilan massique. En effet, on peut comparer les plastiques dérivés de plantes dans les emballages plus durables à l’énergie verte. La production du chocolat fonctionne également avec ce système de bilan massique. Les directives internationales du ‘Fairtrade’ ont établi que la production du thé, sucre, cacao, des noisettes et jus de fruits peut utiliser le système de bilan massique. Pour CoolBest cela signifie : plus le consommateur achète des emballages durables, plus l’utilisation des matériaux dérivés de plantes augmente – et l’industrie en devient plus durable.
Plus le consommateur achète des emballages durables, plus l’utilisation des matériaux dérivés de plantes augmente – et l’industrie en devient plus durable.
De plus, les emballages durables entraînent une empreinte CO2 moins importante que celle d’un emballage standard. En effet, l’émission CO2 des emballages durables est de 37,7% plus bas pour les emballages de 500 ml, 43.0% plus bas pour les emballages d’un litre et 50.7% plus bas pour les emballages de 1500 ml, une performance évaluée et approuvée par une Analyse critique du Cycle de Vie (ACV) conforme aux normes ISO. Une comparaison peut être faite avec 3 millions de km en voiture, c’est-à-dire 75 tours du monde en voiture. Avec ses 23 millions d’emballages par an, CoolBest livre donc une contribution relativement importante à un avenir durable.